Steve Pavlina propose que l’on investisse 3 % de nos revenus dans le développement de soi-même. « The best place to invest your money is in yourself. The rate of return from investing in your own knowledge and skills will be much higher than anything you’ll see from stocks, real estate, or other investments. » L’idée est fort intéressante. Ce qui soulève le corollaire suivant : quel pourcentage de nos revenus devrait-on investir dans autrui ?
Mon blog est assailli de spam depuis hier. En moins de 12 heures, il a été contaminé 59 fois. Et ça continue. Ce n’est pas dû à l’inefficacité du code de sécurité nécessaire à l’ajout d’un commentaire. Au contraire : sa désactivation accidentelle montre à quel point il est indispensable et opérant. Je crains que cela ne me tienne occupé toute la fin de semaine, jusqu’à ce qu’on puisse réparer la chose lundi. Si mon calcul est exact, cela devrait faire une rafale d’environ 300 dards. …
Via George Siemens : « The biggest mistake in content management is writing for the organization and not for the reader. » Ce conseil de Gerry McGovern peut être transposé au e-portfolio : « the biggest mistake in personal knowledge management is writing for the school and not for oneself. »
Par ricochet :
Personal knowledge management
J’ai su que quelque chose clochait avec le Programme d’éducation internationale quand j’ai vu mon fils pleurer sous le fardeau des exercices de mathématiques. C’était la première fois que je le voyais fondre en larmes à cause de l’école. Inconsciemment, il se rebellait devant la répétition ad nauseam des exercices. J’étais désarmé devant tant de lucidité. Mais dans mon for intérieur, j’étais fier de lui. Du coup, je n’ai pas osé le lui dire. Lâchement, j’ai tenté de défendre l’école où j’enseignais. Quelques années plus tard, tout juste avant l’obtention du diplôme, il abandonnait le programme (avec ma bénédiction, cette fois). …
La sociologue française Dominique Pasquier lance Cultures lycéennes. La tyrannie de la majorité, un livre sur la culture scolaire des adolescents. À prime abord, son étude me semble refléter tout autant la situation dans les écoles québécoises. …
À mes débuts, j’empilais mes préparations de cours dans un cahier à anneaux, comme tout le monde. Mais depuis que j’ai un portable, les cahiers s’affalent sur les étagères, comme dans un ossuaire. Mon ordinateur me sert de fourre-tout pédagogique et me sert d’assistant en classe. La prochaine étape consiste à tout mettre en ligne. …
Les enfants apprennent très tôt à se garder des autos qui filent à vive allure à quelques centimètres seulement du trottoir. Par conséquent, il n’est pas nécessaire d’ériger des garde-fous partout où automobiles et piétons se partagent la voie. Inutile de préciser que les coûts seraient prohibitifs, sinon pour faire valoir que la vigilance, comme bien des sous-produits de l’éducation, a une importante valeur économique et culturelle. …
Deux études récentes soulignent les différences dans le fonctionnement du cerveau en fonction de l’âge. …
Vaut mieux prévenir que guérir. Après avoir eu vent que le président Bush pourrait demander à Paul Martin la collaboration du Canada dans l’effort de reconstruction en Iraq (Cyberpresse : Bush demanderait d’envoyer des troupes), je me suis empressé d’envoyer un message au premier ministre. …
Un spotcode est un symbole d’identification spécifique, comme un code-barre, qui permet d’obtenir de l’information à partir d’un cellulaire photographique. L’information ainsi obtenue est généralement à jour, sans qu’il soit nécessaire de changer le symbole. Apparemment, cette technologie fait une percée en raison de la popularité de l’informatique mobile (mobile computing). Steve Burt nous fait entrevoir quelques possibilités en éducation. Pour ma part, j’y vois une technologie faite sur mesure pour le m-learning.
