Investir dans soi-même


Steve Pavlina propose que l’on investisse 3 % de nos revenus dans le développement de soi-même. « The best place to invest your money is in yourself. The rate of return from investing in your own knowledge and skills will be much higher than anything you’ll see from stocks, real estate, or other investments. » L’idée est fort intéressante. Ce qui soulève le corollaire suivant : quel pourcentage de nos revenus devrait-on investir dans autrui ?

Vous pouvez suivre les commentaires en réponse à ce billet avec le RSS 2.0 Vous pouvez laisser une réponse, ou trackback.

2 réponses

  • « quel pourcentage de nos revenus devrait-on investir dans autrui ? »

    [humour] Environ 45% de nos revenus. On nomme cela les impôts [/humour]

    Même si l’argent demeure une pierre angulaire incontournable dans l’entreprise de plusieurs actions sociales (le club des petits déjeuners dans les écoles, la reconstruction post-tsunami, la croix-rouge, etc.), j’apprécie énormément l’implication bénévole. Pour ma part, je préfère m’impliquer bénévolement, en donnant de mon temps et de mes compétences, que de donner purement et simplement un montant d’argent et ainsi acheter une certaine tranquillité d’esprit. Pourquoi? Parce qu’en m’impliquant, je deviens émotivement engagé (au sens large) dans cette cause et que cela engendre alors une réflexion sociale et, quasi immanquablement, de nouveaux gestes sociaux en découlent. Mais bon, comme je le disais, c’est certain qu’il faut aussi des sous :-) Il faut juste ne pas s’y limiter…

  • Bonne réponse, Patrick. Tu as parfaitement raison de souligner la primauté de l’engagement affectif. Non seulement c’est gratuit, mais ça ne s’achète pas vraiment. Quant aux êtres qui nous sont chers, on appelle cela l’amour… et ça aussi ça n’a pas de prix.



Laisser un commentaire

*