Pas de malbouffe dans les écoles du Québec

J’applaudis l’initiative du gouvernement du Québec de vouloir éliminer la malbouffe des écoles. Les écoles ont eu tout le temps voulu d’en faire une question d’éducation, mais ont préféré vendre leur âme au diable de la rentabilité, sorte de nicotine et de gras trans qui mène à la myopie administrative. Il va être intéressant de voir comment les commissions scolaires vont composer avec les contrats d’exclusivité signés avec des multinationales de la malbouffe. Quand j’ai discuté de la nouvelle avec mes élèves du secondaire, les seules objections (exprimées) sont venues d’élèves très sportifs. La véhémence de leur réaction m’a étonné, et j’ai eu le sentiment qu’ils se croient immunisés contre les effets du junk food.


Par ricochet :
L’éducation passe aussi par l’assiette