Visualisation de la pollution urbaine


Pas mal, ce service de téléphonie cellulaire qui prévient les Londoniens souffrant de troubles respiratoires des pointes de pollution. Mais le plus fascinant, dans ce billet de Roland Piquepaille, c’est cette animation du taux de dioxyde d’azote dans l’air durant 24 heures. Les variations sont inouïes, atteignant leur comble entre 6 et 9 heures. Vu sous cet angle, la ville ressemble à un poumon de fumeur, et ça me fait réaliser la densité des toxiques invisibles qui nous empoisonnent.

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